Monteverdi: Night. Stories Of Lovers And Warriors
S**G
This is deeply affecting music
Alessandrini and Concerto Italiano have lived and breathed Monteverdi for over two decades. This wonderful recording presents one of the most moving interpretations of ‘Combattimento di Tancredi e Clorinda’ available, indeed, even surpassing Alessandrini’s earlier release from the late 90’s (Madrigali Guerrieri et Amorosi) with the same forces. The entire disc is cleverly themed, beautifuly sung and superbly recorded. This is deeply affecting music. An outstanding achievement.
S**Y
Superb nocturnal concept
This exceptional Monteverdi programme boasts the great asset of a wonderful overriding theme, namely Night - the domain of love, concealment, passion, treachery and much more. It would be hard to think of a better baroque composer than Monteverdi to illustrate and express this theme though the unique power and beauty of his music.The sung works, performed by Rinaldo Alessandrini's superb Concerto Italiano ensemble, are selected from the Madrigals, mostly the later Books, and are interspersed with a handful of instrumental Sinfonias from operas and madrigals. The opening Sinfonia, from Orfeo act 3, promises well, introducing the listener to the exceptionally rich texture of the nine-instrument ensemble. This is followed by the familiar 'Hor che'l cielo e la terra' from 'Madrigali guerreri et amorosi', in a vivid performance which forcefully expresses the emotion and melodrama of Monteverdi's music and text. All of the six voices are outstanding, with beautiful voices and expressive power to match. A special mention should go to soprano Monica Piccinini, with a gorgeous voice and showing superb musicianship throughout.The centrepiece is 'Combattimento di Tancredi e Clorinda', here in an account rich in texture, poetry and drama. Raffaele Giordani is a superbly committed Testo, resulting in exceptionally exciting narrative power. The following polyphonic madrigal, Tancredi's lament 'Vivrò fra i miei tormenti', is just as powerful in its own way. The 'Lamento della Ninfa' is beautiful, the interspersed Sinfonie are rich and expressive throughout, and the closing 'Quando l'alba in oriente' from 'Scherzi musicali' is an unreserved delight.Alessandrini's imaginative concept is still further enhanced by his own evocative booklet essay. Recorded sound is exquisite, and texts and translations are all given. This is an absolutely rivetting Monteverdi programme.
S**S
Recommended.
Everything as described and full satisfaction. Recommended.
C**E
Press review
N.B.: English version available on Amazon.comCette revue de presse est basée sur sept évaluations qui sont toutes extrêmement positives. L'enregistrement s'est vu décerner un Diapason d'Or, un Choc de Classica, une mention de 'Record of the month" de la part de BBC Music Magazine, un '4' coeurs de Forum Opéra, un Soleil de la part de Musikzen. Que demander de mieux? De plus, la rue Classica lui attribue un CHOC de l’année 2017 !Jérémie Bigorie rédige une courte critique pour Classica (#193, 06/2017) qui nous semble plutôt superficielle en comparaison de celles que nous proposent d'autres critiques et ce, même s'il accorde une note parfaite à l'enregistrement.Fabrice Fitch de Gramophone (06/2017) décrit davantage le contenu de l'enregistrement et cerne bien le rôle de chaque madrigal à l'intérieur du thème de "... la nuit, de ses terreurs et de se délices...". Alessandrini nous convie à un voyage bien structuré au coeur de la nuit, un peu comme si on entrait dans un tunnel à peine éclairé et duquel on ressort transformé. La critique de Fitch est très appréciative dans l'ensemble mais il se montre plutôt réservé dans son expression d'éloges spécifiques. Il apprécie toutefois les performances d'Anna Simboli qui exprime adéquatement la vulnérabilité du personnage de Clorinde. Ce critique est d'avis que, en comparaison d’il y a 20 ans, la lecture que fait Alessandini de ces oeuvres de Monteverdi est "... moins dramatique, davantage analytique, tout à fait en harmonie avec le programme, ajoutant à cela que les istruments et l'enregistrement sonore sont plus clairs".Chez Fanfare (41:1, 09/10-2017) le critique James V. Maiello se montre extrêmement enthousiaste "Voici un accomplissment extraordinaire, exactement de la façon dont je rêve d'entendre jouer la musiqe de Monteverdi". Ce disque est appelé à devenir une référence - un classique dans le genre selon lui : "Des interprétations inspirées, intelligentes et expressives". Pour Maiello, cette version du 'Combattimento' est sans doute la meilleure qu'il ait jamais entendue. Selon ce critique "Raffaele Giordani (Testo) est un narrateur absolument captivant, offrant une performance dramatique et totalement engagée...".Et voici qu'on retrouve des propos similaires de la part de Denis Morrier chez Diapason (#657, 05/2017) (Diapason d'Or): "... le fabuleux Raffaele Giordani profère chaque parole avec une pertinence et une profondeur rares". Il parvient à décrire comme nul autre "... la pire violence des batailles, la stuppeur muette face au drame, l'élévation spirituelle et même la liberté du lyrisme et de l'ornementation, lorsque Monteverdi l'y invite". Morrier poursuit son évaluation magistrale et commente la direction d'Alessadrini en lien avec le 'Combatimento': "Jamais, l'agonie de Clrorinde n'a été aussi crédible, jamais non plus les portes du Ciel ne s'étaient ouvertes sur une plus douce lumière".Sur la Toile, deux critiques sont à retenir. La première d'Albéric Lagier pour Musikzen (05/2017) décerne un 'Soleil' à l'enregistrement. L'objectif de Monteverdi est à priori de "... surprendre, émouvoir, et pour cela thâtraliser la représentation des sentiments en musique". "C'est le stile representativo qui conduit tout droit au drama per musica, puis à l'opéra". Dans cet enregistrement "Rinaldo Alessandrini pousse plus loin encore qu'auparavent cette alchimie entre parole et musique".Chez ResMusica (05/2017) Aklexandre Jamar s'applique à décrire la structure de l'enregistrement - ce patchwork surprenant qui aurait pu être fort décousu. Bien au contraire, il nous fait entrer et sortir de cette "nuit" montéverdienne et analyse succinctement chaque madrigal retenu par Alessandrini. Il s'arrête tout particulièrement à l'interprétation du rôle de la Nymphe par Anna Simboli dans le "Lamento de la Ninfa". Selon lui, il s'agit de "... l'un des Lamento les plus expressifs que nous ayons entendu, arrachant littéralement les sanglots de l'interprète, et tirant sans peine les larmes de l'auditeur le plus obtus". Une critique à déguster...Chez Classic @ la Carte, on poursuit le recensement des critiques disponibles. On peut les consulter dans la section « Recensement / Survey – 05/2017 ». Il vous suffit d’effectuer une recherche au moyen des deux expressions suivantes « classicalacarte + 0709861305667 ».
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